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22 octobre 2008

J'le crois pas

Et voilà. Le voilà qui préoccupe de nouveau mes pensées. J'le crois pas. J'hallucine. Mëme après avoir passé 3 semaines en Italie, après m'être attaché à un autre, après qu'il n'ait plus donné de nouvelles, après la rentrée, après plusieurs mois sans se parler. Il persistait à hanter mon esprit. Toujours et encore. Même après avoir entamé une relation censée être sérieuse, avec quelqu'un qui tient à moi et qui compte sur moi...

Non mais c'est vrai quoi, 3 semaines que je suis avec un nouveau garçon, et je ne peux m'empêcher d'imaginer son visage. Il est gravé dans ma mémoire. Chaque fois que je le vois qui se connecte, par réflexe, j'ouvre une fenêtre de conversation. Et là...

Là, je panique, je referme subitement. Je ne sais même pas quoi lui dire. J'essaie désespérement d'engager la conversation mais...

Mais maintenant que je sais, que je suis au courant qu'il a lui aussi quelqu'un, ça me freine, ça me stoppe, ça me bloque, ça m'angoisse.

Etrangement je lui en veux. Je ne saurais dire pourquoi. Ou plutôt si, je le sais : comment a-t-il pu me faire ça ? Comment a-t-il pu ne pas m'embrasser ce jour-là ? Comment a-t-il pu se rapprocher de moi et ne plus donner signe de vie pendant des semaines ? Comment a-t-il pu oser me reparler comme si de rien n'était ? Comment a-t-il pu ne pas me prévenir, volontairement, qu'il sortait avec quelqu'un ? Comment ? COMMENT ?

Je suis en colère, et c'est très mauvais. Sous une impulsion irrascible, je pourrai faire quelque chose que je regretterai aussitôt, comme l'appeler et lui dire cracher mon venin à la figure, comme lui parler sur msn et lui demander des explications, comme lui envoyer un sms pleins de sous-entendus...

Mais par pitié, que cela cesse ! Que je l'oublie ! Qu'il sorte de mon esprit, de mon corps, de ma chair !

Je n'en peux plus. Ca m'épuise. Si seulement je parvenais à arrêter de me faire des films sur lui, des scénarios où enfin, il me plaquerait contre le mur et m'embrasserait, de m'imaginer le moment où enfin il me dirait qu'il tient à moi, qu'il s'en fout de sa copine, qu'il n'a pas arrêté de penser à moi depuis ce fameux lundi. Si seulement. Je sais pertinement que rien ne s'achèvera tant que je ne serais pas sûre et certaine qu'il n'y a aucune possibilité, pas la moindre chance, rien...

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